Faire ses courses en supermarché
Pourquoi, selon moi, une démarche éco-responsable est incompatible avec les supermarchés ?
Crédits photo : cityzen market
Produits en vrac vendus chez Cityzen Market, la géniale épicerie vrac en centre-ville de Montpellier.
1. On n’a pas de lien HUMAIN dans un supermarché
Content.e ou pas content.e, la personne que ça pourrait intéresser est rarement à l’accueil pour écouter ce que tu aurais à lui dire
2. Il y a bien trop d’intermédiaires
Tu peux évidemment acheter des produits locaux en supermarché mais le.la producteur.trice serait sûrement très content.e de recevoir 100% du prix que tu payes ! Eh oui, les supermarchés prennent une marge comprise entre 13 et 27%…
« Pour les produits alimentaires, les taux de marge sont compris entre 13 et 27 % dans les hypermarchés et supermarchés et proches d’une famille de produits à l’autre. Ils sont particulièrement hauts lorsque les produits sont rapidement périssables, nécessitent un équipement spécifique (congélation…), plus de surface de stockage, davantage de personnel dédié au rayon, ou de l’énergie (cuisson). À l’inverse, ils sont plus modérés sur les boissons, qui se conservent plus longtemps et se stockent facilement (13 %). »
3. C’est assez difficile en supermarché de connaître l’origine de ce que tu achètes.
À l’inverse, la transparence est vraiment de mise dans les plus petits commerces : c’est plus facile de faire des choix d’achats quand on a de vraies informations.
Les alternatives que j’aime bien :
- Les supermarchés coopératifs
- Les épiceries et drive de vrac
- Les groupements d’achat auprès de producteur.trice.s